❥ J’ai découvert La Naturopathie en 2011. En plus d’un métier, j’ai embrassé une vraie philosophie de vie, qui correspondait enfin à mes valeurs.
❥ J’ai toujours accordé une importance particulière à mon alimentation car je la considère comme un moyen essentiel et naturel de prendre soin à la fois de mon corps et de mon esprit. Après 5 ans de formation, j’ai commencé les consultations en 2017.
MON HISTOIRE :
❥ J’ai eu des troubles gynécologiques qui m’ont amenée à prendre du poids dans mon adolescence et puis une perte de poids (#viveleshormones). J’ai été pendant de nombreuses années complexée par mon corps, mais aujourd’hui, je le remercie et je l’aime comme il est.
❥ J’ai souffert de vaginose pendant quelques années. On m’a diagnostiqué une adénomyose en 2019, une endométriose en 2024. Aujourd’hui, je peux enfin le dire : j’ai réussi à établir mon équilibre intime : je n’ai plus quelques traces de mon adénomyose, mon endométriose est maitrisée (j’ai un endométriome de 2 cm qui est passé à 5 mm sur mon ovaire droit), ni même de vaginose à répétition. Mes cycles sont réguliers et avec une belle ovulation.
❥ Après plusieurs rencontres et échanges, j’ai observé plusieurs choses :
– Les femmes connaissent que très peu leur cycle.
– C’est lors d’examens gynécologiques (obligatoire lors du parcours de PMA) que des femmes découvrent des maladies gynécologiques qui peuvent rendre plus difficile une grossesse.
– C’est au cours de plusieurs essais qu’on découvre des troubles de fertilité : endomètre fin, ponction blanche, arrêt de grossesse précoce, mutation du gène MTHFR
– Les femmes ne distinguent pas correctement leur fenêtre de fertilité afin de procéder à une insémination au moment le plus propice.
❥ C’est là que j’interviens. J’accompagne ces femmes, ces couples de femmes pour optimiser leur fertilité, leur expliquer le fonctionnement de leur cycle et donc le protocole hormonal dans lequel elles sont lancées, harmoniser leur équilibre hormonal en amont, en cas de maladies gynécologiques : SOPK, endométriose, adénomyose, en cas Insuffisance ovarienne, ou bien d’un endomètre fin, d’échecs de transfert, d’une hyperprolactinémie, d’une maladie thyroïdienne …